
Funérailles Delval Sereni : « Pour que, dans la douleur, il y ait toujours de la chaleur »
Aurore Fourmeaux directrice des pompes funèbres Delval | Sereni
Depuis plus de 20 ans, le centre funéraire Delval se distingue par son accompagnement personnalisé et réconfortant. Une prise en charge à l’image d’Aurore Fourmeaux, fondatrice de cette illustre maison tournaisienne. À peine passée la porte du centre funéraire Delval Sereni, on apprécie directement la chaleur d’un accueil bienveillant. Ici, on pénètre dans un univers serein et réconfortant. Loin de salons aux teintes sombres et tristes, on pourrait presque avoir envie de se poser sur un des confortables canapés pour souffler le temps d’un instant. Créer un environnement agréable et attrayant, c’est le choix qu’à fait Aurore Fourmeaux qui, bien qu’aidée de deux collaboratrices qui partagent ses valeurs, accueille toujours personnellement chaque famille.
«J’ai voulu créer un univers proche et intimiste pour accueillir les familles et les proches dans un environnement confortable et apaisant. Je souhaite leur offrir un sentiment de bien-être dans ce moment difficile que sont des funérailles d’un de leurs proches» explique Aurore Fourmeaux.
Une prise en charge complète
Entrepreneure passionnée par son métier qui la rapproche de l’humain, Aurore a développé une gestion complète des funérailles, depuis la prise en charge du défunt jusqu’à son lieu de sépulture en passant par l’organisation de la cérémonie et de la réception, afin que les familles puissent entièrement se reposer sur ses épaules. Disponible 24 heures sur 24, tous les jours de l’année, elle fait preuve d’un engagement hors norme pour soulager les proches du défunt.
«En un rendez-vous avec les familles, nous nous arrangeons pour tout organiser de A à Z afin que celles-ci ressortent de chez nous apaisées et puissent vivre leur deuil en toute sérénité» souligne Aurore Fourmeaux qui, depuis plusieurs années, est épaulée par Bélinda Questier et Ophélie Destrebecq, qui partagent ses valeurs d’empathie et son professionnalisme. Les trois femmes insufflent d’ailleurs une dynamique bienveillante dans leur travail, ce qui crée une véritable confiance et satisfait pleinement les clients.
Dans des salons intimes et personnels
Jeune thanatopractrice de talent formée en Belgique et au Canada, Ophélie s’occupe également des soins et de la présentation du défunt auquel les familles pourront rendre un dernier hommage dans une des 8 chambres funéraires colorées et conviviales que compte le centre. «Les défunts reposent dans des salons tous différents que j’ai personnellement décorés avec goût. Ils sont alités comme dans une chambre personnelle dans laquelle nous disposons des fleurs et des bougies pour créer une ambiance calme et reposante» indique Aurore Fourmeaux.
Le centre funéraire qui dispose de confortables salons d’attente proposera également d’ici peu une salle de cérémonie, afin de pouvoir accueillir les familles qui souhaitent rester dans ce cadre chaleureux. Aujourd’hui, l’espace qui se trouve entre les deux ailes du bâtiment permet déjà d’accueillir des cérémonies privées en petit comité jusqu’à 30 personnes.
Personnalisation, modernité et bonnes pratiques
Les funérailles Delval Sereni garantissent ainsi un accompagnement professionnel de qualité élevée, entièrement personnalisé et résolument moderne.
La maison a ainsi rejoint depuis peu le réseau d’entreprises de pompes funèbres Sereni. Celui-ci leur apporte une entraide, une expertise ainsi qu’un soutien administratif qui lui permet de se consacrer pleinement à son métier : accompagner au mieux les familles et leur défunt.
«Le monde funéraire n’est pas différent des autres secteurs. Nous devons rester à l’écoute des attentes de nos clients. Faire partie d’un réseau nous permet d’innover tout en conservant notre identité qui repose sur notre accueil dévoué et nos infrastructures dont la décoration rappelle celle d’un intérieur où il fait bon vivre. Nous sommes ainsi à même d’apporter à nos clients la chaleur et le réconfort qu’ils attendent dans ce moment difficile» conclut Aurore Fourmeaux.

