Lorsque je suis arrivé dans le secteur funéraire il y a quelques années, ce n’était pas un choix délibéré. On m’a approché et, au départ, je me suis dit : « Les chiffres sont les mêmes partout. Que l’on travaille dans une entreprise de production ou dans le secteur des services, la différence semble minime. » Mais j’ai vite découvert qu’ici, il ne s’agit pas seulement de chiffres. Derrière chaque nombre se cache une histoire – et cette histoire concerne les familles.
Ce qui me plaît le plus dans mon travail, c’est de soulager les entrepreneurs afin qu’ils ne perçoivent plus l’administration comme un fardeau. Ils peuvent ainsi se concentrer pleinement sur ce qui compte vraiment : accompagner les familles. Pour moi, la finance n’est donc pas une simple énumération de bilans et de rapports, mais un moyen d’alléger la charge. Cela nécessite une coordination constante et une communication ouverte. Chaque entrepreneur travaille à sa manière, avec ses propres habitudes. C’est à chaque fois une recherche du juste équilibre : standardiser là où c’est nécessaire, tout en laissant de la place à l’originalité. Cela rend le travail à la fois stimulant et précieux. Après huit ans à travailler comme consultant de projet en projet, je souhaitais m’impliquer davantage dans l’histoire de croissance d’une entreprise. Notre CFO Bart m’a convaincu de rejoindre Sereni, et jusqu’à aujourd’hui, je suis heureux d’avoir franchi ce pas. L’intégration de nouveaux centres funéraires est toujours un défi intéressant. Chaque entreprise fonctionne un peu différemment, ce qui rend essentiel l’ajustement des processus et la recherche de solutions pratiques. Tout comme Sereni dans son ensemble, notre équipe finance a également beaucoup grandi ces dernières années. Pour moi, il est important que chacun dans l’équipe prenne plaisir à son travail et trouve suffisamment de défis pour continuer à progresser.
Bien que nous ayons peu de contact direct avec les familles depuis la finance, je remarque de plus en plus l’impact de notre travail. Recevoir correctement et à temps les factures funéraires, répondre aux questions – cela peut sembler minime, mais cela permet aux entrepreneurs de se concentrer entièrement sur les familles. Cela donne tout son sens à ce que nous faisons. Ce que j’apprécie le plus, c’est que ce n’est jamais seulement une question de systèmes ou de rapports. Il s’agit de personnes – les entrepreneurs que nous soulageons, les familles qu’ils accompagnent, et moi-même, qui trouve de la satisfaction dans ces connexions. Ce sentiment, que tout ce que nous faisons contribue à quelque chose de plus grand, me motive chaque jour.
Équilibre travail-vie personnelle En dehors du travail, le sport est un exutoire important. Surtout le tennis : en été, je joue trois à quatre fois par semaine, en hiver un peu moins, en alternance avec la course à pied. Il ne s’agit pas seulement de gagner – même si c’est agréable – mais surtout du plaisir du jeu. Cela me garde alerte, physiquement et mentalement. Ma famille est ma plus grande source d’énergie. Rentrer chez moi après une longue journée de travail, voir mon petit garçon sourire, lui faire un câlin et jouer ensemble : cela rend tout plus léger. Parfois, nous jouons simplement avec des voitures ou des blocs, parfois nous, bavardons un peu. Ce sont ces petits moments qui montrent que tout ce que nous faisons en coulisses compte – autant pour les familles que pour nousmêmes.


