Comment êtes-vous arrivé chez Sereni? En tant que national account, j’ai travaillé plus de dix ans pour une agence d’intérim. À l’époque, Sereni faisait partie de mes clients. Travailler pour eux, c’était travailler avec dévouement. J’étais toujours disponible pour Sereni, et j’éprouvais une vraie affinité avec leur manière d’être. Même si mon emploi m’offrait une grande liberté et de nombreuses responsabilités, il me manquait quelque chose.
Une idée de ce qui vous manquait? De ce que vous recherchiez? J’en avais assez de la mentalité qui régnait au travail. Je faisais partie d’une équipe où la motivation intérieure faisait défaut, et ce manque me pesait. Fils d’indépendant, j’ai grandi avec une autre conception du travail — celle du cœur et de la passion. En approchant de la cinquantaine, j’ai senti qu’il était temps de franchir le pas vers Sereni.Aucun de mes collègues n’a été surpris par mon choix : Sereni, c’était écrit dans les étoiles.
Vous avez suivi votre cœur. D’où vient cet amour pour votrre métier?
Les funérailles sont ma passion. Nos collaborateurs me touchent profondément : ce sont des personnes qui, à un moment crucial de la vie, offrent un véritable soutien à autrui. Ils exercent leur métier avec une immense bienveillance. Pour les familles endeuillées, le sol se dérobe souvent sous leurs pieds ; nos équipes les accompagnent dans cette épreuve.L’adieu, ce n’est pas qu’une réception élégante après la cérémonie. C'est avant tout le fait d’être présent les uns pour les autres. Lors d’une grande perte, les mots manquent souvent, mais la présence reste.Permettre à chacun de dire adieu — voilà l’idée essentielle sur laquelle je veux continuer à bâtir.
De quelle manière essayez-vous d’être un soutien pour vos collaborateurs ? Quand ils viennent vers moi, j’aime pouvoir leur donner une réponse claire et rapide. Salaire, attestations, congés, naissances — peu importe le sujet, j’aime résoudre leurs questions. Cela me fait plaisir de savoir qu’ils se sentent aidés. Je veux qu’ils puissent travailler dans la sérénité et la confiance, concentrés sur ce qui compte vraiment : la famille du défunt. Mon rôle, c’est de les soulager de tout ce qui pourrait les préoccuper. C’est une priorité pour moi. Et quand un bureau me demande de trouver un collaborateur supplémentaire, je suis ravi : placer la bonne personne au bon endroit, c’est ce que j’aime faire.


